Vous écrivez: "Même si je me sens mieux de jours en jours, et que je suis sortie du trou dans lequel j'étais, je dois toujours me battre contre une douleur physique. Dans la dernière année, les douleurs de mon corps venant de la fibromyalgie et des migraines ont fortement diminuées, mais elle n'ont pas disparues." Pourquoi ne croyez vous pas votre corps qu'il peut en faire plus si vous ne quittez pas le droit chemin que vous avez osez trouver ? Les douleurs peuvent vous dire qu'il y a toujours beaucoup plus de cruauté que vous avez enduré à laquelle vous devez faire face. Vous avez besoin de temps pour faire ça. Un an n'est peut être pas assez pour sonder ce dont vous avez du souffrir durant des années. Mais je ne doute pas que vous allez réussir à vivre sans douleur corporelle une fois que vous aurez complétement abandonné le déni. Soyez patiente, ça prend du temps, parfois beaucoup de temps. La fibromyalgie est une maladie très cruelle, aussi cruelle que la cruauté émotionnelle de vos parents que vous avez peut être peur de voir et de sentir depuis votre plus petite enfance.
Version Originale:
AM: You write: “Although I feel better each day and I'm out of the hole I was in, I do still have to battle physical pain. In the past year my body pains from fibromyalgia and migraines have greatly lessened, but they have not gone away.” Why don't you trust your body that it can do more if you don't leave the right path you have dared to find? The pains may tell you that there is still much more cruelty you had to endure that you will have to face. You need time for doing this. One year might be not enough to fathom what you had to suffer over so many years. But I don't doubt that you will succeed to live without corporal pain once you give up fully the denial. Be patient, it takes time, sometimes much time. Fibromyalgia is a very cruel illness, as cruel as your parents' emotional cruelty that you may be afraid to see and feel since your earliest childhood.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire