Ce courrier evoque le fait que les abus emotionnels des parents contre les enfants ne soient pas reconnus par la loi, mais la loi n'est que le reflet de la pensée (l'etat d'esprit) dominant dans une communauté et l'abus de l'enfant est majoritairement accepté et permis par la loi (la domination) parce qu'il est largement pratiqué, c'est un cercle vicieux. D'ailleurs ce qu'on appelle la loi (les causes), les règles, etc, ne sont souvent en réalité que la réplique de la loi physique de causalité, la loi de cause à effet (dominé - dominant), qui n'a rien à voir avec la véritable justice mais qui est héritée à l'origine en premier de la mère qui domine évidemment l'enfant dans tous les aspect de sa vie.
Même les abus physiques dans les écoles ne sont pas contre la loi dans 22 etats des USA. Sur les 192 membres des Nations Unies, seulement 19 pays, la plupart européens, ont une loi qui interdit les châtiments corporels des enfants. Je peux comprendre vos sentiments d'impuissance et je les partage bien sur. Malheureusement, pour les politiques et le pape ça ne semble pas être un "problème". L'information que frapper les petits enfants durant le temps ou leurs cerveaux se construisent les laissent avec des effets destructeurs persistants, ne peut trouver d'intérêt du tout. Elle ne peut les motiver à prendre des mesures.
Version Originale:
AM: Even physical abuse in schools is not against the law in 22 states of the USA. Out of 192 members of the United Nations, only 19 mostly European countries have a law that forbids corporal punishment of children. I can understand your feelings of powerlessness and do share them of course. Unfortunately, for politicians and the Pope this doesn't seem an "issue". The information that spanking small children during the time when their brains are constructing themselves leaves them with lingering destructive effects, could not find their interest at all. It could not motivate them to taking any action.
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